Symbole de ce nouveau départ, la VPC (vente par correspondance) devenait la VAD (vente à distance) par la grâce d'Internet. Les accidents récents rappellent le secteur à plus de mesure.
En 2005, l’activité du secteur, internet compris, a progressé de 700 M € alors que le seul e-commerce gagnait 1,3 Mrd€ de ventes. Cette déperdition de chiffre d'affaires s'explique, selon Marc Lolivier, délégué général de la (Fevad), par le transfert naturel des commandes catalogues vers le canal internet.
Il n'empêche, l'usure des ressorts traditionnels de la vente par correspondance est manifeste. Exactement comme les VPCistes, d’autres secteurs inondent les boîtes aux lettres de mailings assortis de chèques de remise, voire de cadeaux.